Depuis une semaine, vous pouvez retrouver, en salle, le dernier film Disney Nature. Blue offre une immersion dans nos mers et océans durant 1h20 d’émerveillement. Cette plongée dans un univers à la fois proche et mystérieux, tantôt angoissant et tantôt fascinant ne laisse pas indifférent.
Comme toujours avec Disney Nature, le documentaire, loin d’être purement didactique, nous permet à la fois d’approfondir nos connaissance et de nous passionner pour un univers à travers le suivi de quelques animaux en particulier. Ainsi, le film suit une famille de dauphins et un bébé dauphin en particulier à travers les temps forts de son éducation et de sa survie dans ce monde parfois hostile pour les animaux comme lui. On se surprend également à s’attacher à une maman baleine, à son petit, ainsi qu’à une étrange créature : la squille.
Le film bénéficie des dernières avancées technologies. Les réalisateurs ont ainsi pu explorer les mers en nous offrant un grand nombre d’images époustouflantes. Ainsi, nous assistons incrédule à un combat acharné entre orques et baleines, à une activité de chasse surprenante de la part des dauphins et à des moments de vie quotidienne d’une squille étrange.
Ce spectacle d’images à la fois impressionnantes et surprenantes est au service d’un message distillé tout au long du récit, concernant la sauvegarde de nos océans. Le film a le mérite de ne pas trop s’appesantir sur les enjeux écologies mais il ne les oublie pas. Et on ne peut rester insensible au recul du corail et à la sonnette d’alarme tirée par les scientifiques devant la beauté de ce monde qui nous est souvent inconnu.
La voix douce de Cécile de France rend le film encore plus agréable à suivre. C’est une actrice que j’apprécie particulièrement et elle a réussi, selon moi, l’exercice de style en utilisant un ton parfois sérieux et parfois amusé.
Mes puces n’ont pas vu le film mais je pense qu’il peut s’adresser à des enfants à partir de 7-8 ans, selon leur maturité et à condition, évidemment, que le sujet les intéresse vraiment.