Je n’en ai pas parlé mais pourtant, quelle avancée ! Depuis le mois de juillet, minicap dort dans un lit de grande. La transition s’est faite sans encombre. Je crois même qu’elle aurait du se faire plus tôt.

Cela faisait un moment que je sentais minicap mal à l’aise dans son lit à barreaux, les couchers étaient de plus en plus compliqués, elle trainait de plus en plus dans notre lit. J’avais pourtant lu que la plupart des petits quittaient leur lit de bébé, à 2 ans, on en était loin au mois de mai dernier. Je me demandais surtout quels étaient les signes permettant de savoir que c’était le bon moment. J’avais lu qu’il fallait tout simplement attendre de voir si bébé essayait de grimper par dessus les barreaux. Minicap ne grimpait pas, en revanche elle se tenait debout et en pleurs contre ses barreaux, assez souvent.

Nous avons attendu de déménager et au mois de juillet, j’ai commandé un lit. Je voulais un lit de transition qui ne soit pas trop grand et avec une petite barrière intégrée. La taille importait d’autant plus que la chambre de minicap n’est pas immense et que nous aimerions, à terme, y accueillir un petit deuxième. J’ai opté pour un lit évolutif de chez Vertbaudet, le modèle Gaufrette. Il grandit avec l’enfant, passant de 1m40 de long à une taille plus standard de 1m90. Je suis très contente de cet achat, j’ai profité des soldes d’été pour le payer à un prix attractif et j’avoue craquer pour son design et sa couleur de fifille. Le hic, et non des moindres, ce sont les divers achats à effectuer, en supplément et auquel on ne pense pas en achetant ce type de lit. Il faut aquérir un matelas évolutif et des lattes évolutives ce qui constitue une petite somme. Un autre lit m’a tapé dans l’œil, par la suite. Il possède les mêmes qualités que le lit Vertbaudet puisqu’ il est évolutif et qu’il possède une barrière intégrée. Il s’agit du lit MINNEN de chez ikéa, il a l’avantage d’être moins coûteux que le lit gaufrette.

Une fois le lit reçu, nous l’avons présenté à minicap en jouant avec elle dessus. Très vite, elle a pris l’habitude de grimper sur le matelas pour s’y installer avec ses jouets ou ses livres. Puis, dès le premier soir, elle y a dormi sans problème. Pendant de nombreuses nuits, nous avons glissé son ancien matelas au sol, en cas de chute, mais elle n’est jamais tombée. A 19 mois, elle a donc définitivement abandonné son lit à barreaux, avançant encore et toujours sur son chemin de petite fille !